Chaque jour on inspire et on expire environ 25 000 fois mais on le fait généralement à l’envers, c’est-à-dire que l’on inspire par le haut en rentrant le ventre et on expire en gonflant le ventre ! Résultat on bloque notre diaphragme, on est sous-oxygéné et on évacue mal les toxines !… La respiration est tellement importante !

Il est temps de reprendre notre souffle à l’endroit.

Il faut inspirer en gonflant le ventre et expirer en creusant le ventre.
En effet en inspirant, votre ventre se remplit d’air (il s’avance), vos côtes s’écartent et le sommet de vos poumons se charge ensuite d’air. En expirant, la partie supérieure des poumons se vide en premier, suivie par les côtes qui se resserrent et, enfin, par votre ventre qui rapproche le nombril de la colonne vertébrale jusqu’à contraction des abdominaux. 

Il faut reprendre notre souffle à l’endroit.

Avec humilité le souffle nous apprend que l’on ne contrôle pas tout, mais que l’on peut agir efficacement quand même. Respirer nous nourrit. C’est le souffle vital. Un outil incroyable à notre entière disposition. Pour calmer une tempête intérieure (colère, dispute, émotions réprimées…), il suffit simplement d’inspirer et d’expirer consciemment, dans le calme.
Face à la douleur : respirez ! Face à la détresse : respirez ! Face à la colère : respirez !
Commencez par respirer, tout sera plus clair ensuite.

La respiration nous aide à développer notre force, notre clarté, notre capacité à nous concentrer. Elle ne transforme pas la réalité, mais transforme l’expérience que l’on a de la réalité, et préserve nos capacités d’agir. Mieux vaut prêter attention à notre souffle qu’à nos ruminations.

 

L’importance de la respiration diaphragmatique (ou ventrale).

Assez mal connu et souvent mal aimé, le diaphragme est pourtant le muscle le plus puissant du corps. Rien que ça ! Situé entre le thorax et l’abdomen il joue un rôle capital. A chaque inspiration, les viscères (le foie, la vésicule biliaire, l’estomac, le pancréas, le côlon…) sont pressés comme des éponges. A ce moment là, le diaphragme, poussé par l’air, active la circulation veineuse et masse le plexus solaire, ce centre d’aiguillage de tout le système neurovégétatif. A chaque expiration, le diaphragme remonte et berce le cœur posé sur son aile gauche. Autant dire qu’un diaphragme bien dans ses baskets est une bénédiction ! Le stress et l’anxiété disparaissent, l’organisme se revivifie. Malheureusement, ce muscle reste trop souvent inerte par une respiration chiche ou inadéquate. Inutile de s’étonner alors, de petits matins chagrins…
Pour libérer le diaphragme et retrouver sa puissance il convient de « faire attention » :
S’installer sur le dos, les yeux fermés, les mains posées sur le ventre face à face. Inspirer profondément en suivant par la pensée l’air qui pénètre dans les narines, glisse dans la gorge, envahit les poumons et vient buter contre la paroi du diaphragme. Attention, il faut gonfler le ventre à l’inspire pendant que le diaphragme descend, puis creuser le ventre lors de l’expire pendant que le diaphragme remonte. Après quelques minutes de cette respiration vous êtes relaxé, apaisé et rafraîchi par un diaphragme heureux☺.

Les respirations qui soignent 

La respiration alternée.
Elle permet de rétablir l’équilibre entre les deux branches du système nerveux et favorise la production de sérotonine, la fameuse « hormone du bonheur » :).

Replier l’index et le majeur sur la paume de la main droite en gardant les trois autres doigts redressés (ce qui laisse l’espace parfait pour le nez). Placer l’annulaire et l’auriculaire sur la gauche du nez et le pouce sur la droite. Fermer la narine droite avec le pouce et prendre une grande inspiration par la narine gauche, fermer les deux narines en gardant l’air quelques secondes puis soulever le pouce et expulser l’air par la narine droite. Ensuite faire l’inverse inspirer par la narine droite puis expirer par la narine gauche. Continuer pendant 4 à 5 mn.

La recharge pranique.
Elle relance la circulation sanguine pour oxygéner le cerveau et les muscles et rebooste le corps.

En médecine indienne la prana est l’énergie vitale qui circule partout. Pour se revitaliser, inspirer en imaginant les particules lumineuses du prana entrer par les narines et descendre jusqu’au plexus solaire, puis expirer en envoyant toute cette énergie dans le corps.

La respiration de feu.
Elle permet de réchauffer tout l’organisme (parfait les jours d’hiver) et aussi de se mettre en mode intuitif et sensitif.

Inspirer et expirer rapidement par le nez pendant 30 s à 1 mn (comme un petit chien mais par le nez). Petit à petit aller jusqu’à 3 à 5 mn.

La respiration en soufflet.
Elle permet de purifier l’organisme en profondeur. 

Prendre un grande inspiration normalement puis faire une expiration rapide et vive en comprimant l’abdomen. Recommencer pendant 30 s à 1 mn. Petit à petit aller jusqu’à 3 à 5 mn.

Prolonger l’expiration.
Cela permet d’apaiser le corps et l’esprit du stress et des petites tensions.

Inspirer sur 4 temps. Bloquer le souffle poumons pleins sur 2 temps. Expirer sur 6 temps. Retenir poumon vide sur 6 temps. On peut accompagner cette respiration par la visualisation de l’air fais qui entre à l’inspire et de l’air chaud de la colère qui sort à l’expire.

Exemple d’une technique très ancienne de respiration contrôlée, la cohérence cardiaque, qui permet de faire face à un stress en restant serein. Elle active nos capacités d’adaptabilité pour retrouver le calme au plus vite. Elle permet aussi le lâcher prise en renforçant la confiance en soi. Aidée d’une application smartphone dédiée (exemple : cardiozen), faites 3 x par jour pendant 5 mn une inspiration sur 4,5 secondes exactement et une expiration sur 5,5 secondes exactement. Cette technique d’une efficacité incroyable est par exemple utilisée par les pilotes de chasse pour faire face à tout incident qui pourrait être fatal.

souffle vital

L’oxygène :
Élément fondamental de vie
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La respiration apporte l’énergie indispensable au métabolisme de notre corps.
C’est l’oxygène qui permet de transformer les nutriments des aliments que nous mangeons en énergie.
Par exemple une molécule de glucose peut donner 36 unités d’énergie en présence d’oxygène contre 2 unités en son absence. D’où l’importance de bien respirer.
C’est l’hémoglobine qui transporte dans le sang l’oxygène jusqu’aux cellules et capte en échange le gaz carbonique (déchet de la respiration cellulaire), qui sera éliminé par les poumons lors de l’expiration.

Un mécanisme fascinant !  

La pollution de l’air

Les micro polluants en suspension dans l’air sont chargés d’ions positifs et sont éliminés lorsqu’ils acquièrent une charge négative. Un air sain possède donc une forte charge en ions négatifs. Par exemple au pied d’une cascade ou en montagne la quantité d’ions négatifs par cm3 dans l’air est de 50 000. Le taux tombe à 200 en ville, à 20 dans un bureau ou à 14 dans une voiture et à 0 avec l’air conditionné ! Or le seuil pour une santé optimale est estimé à 1 500 …
Voilà une explication très concrète de
l’importance d’aller s’aérer en forêt, à la montagne ou près de la mer dés que possible !

L’Amazonie :
« Poumon de la planète » ?

Les arbres aussi « respirent » et tant mieux !
Grâce à la photosynthèse, incroyable processus permettant la croissance du règne végétal, le CO2 atmosphérique se transforme comme par magie en oxygène. Imaginez comme toute cette organisation est bien faite ! Les arbres absorbent le dioxyde de carbone pour croître, et grâce à l’énergie solaire et une cascade de réaction chimique, rejette de l’oxygène dans l’air. Tout comme le plancton, biomasse énorme des océans, dont la partie végétale produit une énorme quantité d’oxygène. 
D’où l’importance, en temps de réchauffement climatique, de protéger l’Amazonie et toutes les forets de la planète, ainsi que les océans qui jouent le rôle vital de régulateur du climat en absorbant du CO2. 

Le Bol d’air Jacquier®
Une méthode naturelle d’oxygénation cellulaire.

Un mal s’est abattu sur nous : l’hypoxie, l’insuffisance d’oxygène au niveau cellulaire, certainement liée au stress, à la pollution et à la fragilisation de notre organisme. L’ingénieur chimiste et chercheur, émérite et respecté, René Jacquier, s’est longtemps intéressé à la stimulation des processus de régulation et d’auto guérison qui existent en nous par le biais de l’oxygénation cellulaire. Il a inventé le concept d’oxygénation biocatalytique en mettant au point le Bol d’air Jacquier.
Le manque d’oxygène cellulaire provoque un dysfonctionnement des cellules qui ne peuvent plus fournir d’énergie et qui fabriquent des radicaux libres en plus grande quantité. Cette situation entraîne à terme l’apparition de pathologies graves. Il ne s’agit pas d’augmenter la quantité d’oxygène (qui stress la cellule) mais la qualité.
Le Bol d’air est un appareil qui améliore la biodisponibilité de l’oxygène dans l’organisme en utilisant un principe actif précieux : l’essence de résine de pin des landes bio, qui devient le « porteur » d’oxygène optimal. L’oxygène devient alors hautement assimilable par la cellule. 
L’organisme est alors mieux oxygéné permettant un regain d’énergie et une augmentation des défenses antiradicalaires.
Beaucoup d’études scientifiques ont validé ce procédé unique élaboré il y a plus de 60 ans. 
Vous pouvez tester le Bol d’Air chez Holiste à Paris 29 Bd Henri IV, à Lyon et Metz.

Sur un plan plus spirituel, le souffle vital (ou prana ou force vitale dans l’hindouisme), est l’énergie vitale qui investit notre corps bien avant notre naissance et qui continue de brûler telle une veilleuse jusqu’à notre mort où elle se reconnecte alors à l’énergie universelle, l’immensité du tout. Ce souffle vital représente l’équilibre entre le corps et l’esprit. La force de vie. Là où tout commence et là où tout finit. ☺